Lilyan Kesteloot, Dieux d’eau du Sahel. Voyage à travers les mythes de Seth à Tyamaba ; Lilyan Kesteloot, Greater of water from the Sahel. Travels through Seth’s myths to Tyamaba

« Les quelques études ici rassemblées, précise l’auteur, ne sont (…) que des essais sauvages et que rien ne relie, si ce n’est la queue du serpent. » (p. 9) En effet, l’ouvrage est un mélange de textes produits à différents moments. Certains sont des articles publiés, d’autres ont fait l’objet d’un numéro spécial de revue, d’autres encore sont déjà parus sous forme d’ouvrage. S’agissant du thème de l’étude, l’auteur fait remarquer que ses interrogations sur les mythes africains commencent ver. ; ‘The few studies gathered here, says the author, are (.) only wild trials and there is nothing to link, other than the tail of the snake.’ (p. 9) Indeed, the book is a mixture of texts produced at different times. Some are published articles, others have been the subject of a special review issue, others have already been published in the form of a book. As regards the subject of the study, the author points out that his questions about African myths are beginning.